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1.
J Hosp Infect ; 128: 74-79, 2022 Oct.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2028204

ABSTRACT

BACKGROUND: Transmission of severe acute respiratory syndrome coronavirus-2 (SARS-CoV-2) can occur through direct, indirect, or close contact with infected people. However, the extent of environmental contamination is unknown. The nature of the relation between patients' symptoms and SARS-CoV-2 environmental shedding remains unclear. The aim of this study was to assess the relationship between patient coronavirus disease 2019 (COVID-19) status and environmental contamination. METHODS: Between May and November 2020, environmental swabs were taken before and after room disinfection at day 7 after symptom onset in a cohort of patients clinically or biologically diagnosed with COVID-19. Twelve surfaces per room were collected in 13 rooms. Sample analysis was performed by reverse transcription polymerase chain reaction (RT-PCR) for SARS-CoV-2 detection [SARS-CoV-2 R-Gene (biomérieux, Marcy l'Etoile, France)]. Clinical data (day of illness, symptoms, RT-PCR results) was collected from the clinical software. RESULTS: Five medical units were included in the study. Of 156 samples collected in 13 rooms, five rooms (38.5%) presented 11 SARS-CoV-2-positive samples. These positive samples were detected on eight different surfaces. There was no association between detection of SARS-CoV-2 and patient age (P=1) or patient symptoms (P=0.3). CONCLUSION: Viral shedding during COVID-19 appears to be unrelated to the presence of symptoms, patient age, and low-value cycle threshold of patient's test. This study supports the evidence for the environmental shedding of SARS-CoV-2 until at least 7 days after symptom onset. It emphasizes the need for strict compliance with contact precautions, hand hygiene, the correct use of personal protective equipment and room disinfection for the routine care of patients with COVID-19.


Subject(s)
COVID-19 , SARS-CoV-2 , COVID-19/diagnosis , Hospitals, University , Humans , Infection Control , Personal Protective Equipment
2.
Topics in Antiviral Medicine ; 30(1 SUPPL):78, 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1880481

ABSTRACT

Background: The aim of this study was to identify the cause of lymphopenia, strongly predictive of survival in COVID-19. Methods: We recruited PCR-positive SARS-CoV-2-infected patients upon admission to Intensive Care Units (ICU, n = 29) and to the Infectious Diseases Department (non-ICU, n = 29) at Nîmes University Hospital, as well as age-and sex-matched healthy controls (HC). Their Angiotensin II plasma levels were measured by ELISA and their monocytic reactive oxygen species (ROS) production and T-cell apoptosis were measured by flow cytometry using dichloro-dihydro-fluorescein diacetate and fluorescent annexin V, respectively. DNA damage and double strand breaks were quantified in immunofluorescence using antibodies specific for-γ-H2AX and 53BP1, respectively. Results: The monocytes of certain COVID-19 patients spontaneously released ROS able to induce DNA damage and apoptosis in neighboring cells. High ROS production was predictive of death. Indeed, in most patients we observed the presence of DNA damage in up to 50% of their peripheral mononuclear blood cells, with double-strand DNA breaks, and T-cell apoptosis. The intensity of this DNA damage was linked to lymphopenia. SARS-CoV-2 is known to induce the internalization of its receptor, Angiotensin Converting Enzyme 2, a protease able to catabolize Angiotensin II. Accordingly, we observed high plasma levels of Angiotensin II in ROS-producing patients. In search of the stimulus responsible for their ability to release ROS, we unveiled that Angiotensin II triggers ROS production by monocytes via Angiotensin receptor I (AT1). ROS released by Angiotensin II-activated monocytes induced DNA damage and apoptosis in neighboring cells. Conclusion: Mononuclear cell apoptosis provoked via DNA damage due to the release of monocytic ROS could play a major role in COVID-19 pathogenesis, inasmuch as ROS are also known to trigger inflammatory cytokine production. Unveiling this new pathogenic pathway opens up new therapeutic possibilities for COVID-19 based on the early association of AT1 antagonists and antioxidants.

3.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S123-S124, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867578

ABSTRACT

Introduction L'objectif de notre étude était d'évaluer, dans une population à risque, la perception et la connaissance des vaccinations contre la grippe et les pneumocoques pendant la pandémie de Covid-19. Matériels et méthodes Une enquête anonyme en ligne a été soumise, entre juillet et octobre 2020, à des patients porteurs de pathologies chroniques et/ou immunodéprimés issus soit d'un panel interne à Ipsos soit d'associations de patients du groupement AVNIR (Associations VacciNation Immunodéprimées Réalité). Résultats Au total, 2 177 questionnaires de patients à risque d'infection ont été analysés. La quasi-totalité des répondants (86 %, 1869/2177) a déclaré être favorable à la vaccination. Près de la moitié des patients (49 %, 1069/2177) savait quels vaccins étaient recommandés du fait de leur pathologie ou traitements spécifiques. Ce pourcentage était significativement (p<0,001) plus élevé pour les membres d'une association de patients et pour les personnes affectées par plusieurs pathologies chroniques et variait selon le type de pathologie. Près de deux tiers des patients (1373/2177), ont déclaré avoir été vaccinés pendant la saison grippale 2019/2020 et 41 % (894/2177) étaient certains d'être à jour de la vaccination contre le pneumocoque. Les principaux freins à la vaccination étaient pour la grippe : la crainte des effets secondaires et le doute sur l'efficacité du vaccin et pour la vaccination anti-pneumococcique : l'absence de proposition de vaccination de la part des professionnels de santé (64 %). Les médecins généralistes étaient reconnus comme les principaux professionnels de santé source d'information sur la vaccination. Près de deux tiers des patients (62 %, 1360/2177) ont déclaré que la pandémie de COVID-19 les avait convaincus de faire tous les vaccins recommandés. Conclusion Cette étude a mis en évidence des couvertures vaccinales contre la grippe et le pneumocoque non optimales dans les populations à risque malgré une perception positive de la vaccination. Elle a confirmé que les médecins sont en première ligne pour suggérer et recommander ces vaccinations surtout dans le contexte actuel de la pandémie Covid-19 qui peut être utilisé pour promouvoir d'autres vaccins. Liens d'intérêts déclarés P.L : Interventions ponctuelles : activité de conseil et d'expertise pour Pfizer

4.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S65, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867552

ABSTRACT

Introduction Le tocilizumab a récemment été approuvé comme traitement de la COVID-19 sévère et critique. Bien que l'efficacité et la tolérance de ce traitement aient été évaluées dans le cadre d'essais de grandes échelles, peu de données de vie-réelle sont à ce jour disponibles, notamment pour le traitement des pneumonies causées par le variant Omicron. L'objectif de ce travail est de rapporter des données de vie-réelle sur l'utilisation du tocilizumab chez des patients hospitalisés pour une pneumonie à SARS-CoV-2 due au variant Omicron ou Delta. Matériels et méthodes Nous avons collecté prospectivement, entre le 01/08/2021 et le 15/02/2022, les données des patients admis dans un CHU français pour une COVID-19 sévère ou critique et traités par tocilizumab. Le tocilizumab était administré aux patients COVID-19 oxygénoréquérants et traités par dexaméthasone si la protéine C-réactive (CRP) était > 75 mg/L, ou en l'absence d'amélioration après 48h sous dexaméthasone, ou dans les 24h qui suivaient une admission en soins critiques. Nous avons déterminé les facteurs associés à la mortalité à l'aide d'un modèle de Cox. Les patients infectés par le variant Omicron et Delta ont ensuite été comparés après appariement (1 : 2) sur l'âge, l'index de Charlson, le niveau d'oxygénothérapie (score WHO-CPS) et le délai d'administration du tocilizumab. Les courbes de survie ont été générées à l'aide de la méthodologie de Kaplan-Meier et comparées par un test du log-rank. Résultats Cent dix-huit patients (101 Delta et 17 Omicron) ont été traités par tocilizumab (79 hommes ; 67 %, d'âge médian 69 [56-77] ans, index de Charlson médian 1 [0-2]). Les patients inclus avaient des atteintes pulmonaires légères dans 11 % des cas (n=13), modérées dans 61 % (n=72), sévères dans 20 % (n=24) et critiques dans 7 % (n=8). Le tocilizumab a été administré dans les 24h suivant l'admission chez 68 patients (58 %) et en médiane à J1 [1-3]. Le score maximal WHO-CPS pendant le séjour était de 5 chez 47 patients (40 %), de 6 chez 56 patients (47 %), de 7 chez 1 patient (1 %), de 8 chez 1 patient (1 %) et de 9 chez 13 patients (11 %). Soixante-et-un patients (52 %) ont séjourné en soins critiques et 12 (18 %) y sont décédés, portant le nombre totale de décès à 25 (21 %). Les facteurs indépendamment associés à la mortalité étaient l'âge (HR 1.07 ; IC95 % [1.03-1.12], p<0.001), l'index de Charlson (HR1.38 ; IC95 % [1.15-1.66], p=0.004) et le score WHO-CPS (HR1.38 ; IC95 % [1.15-1.66], p=0.002). L'administration précoce de tocilizumab, dans les 24h suivant l'admission avait un effet protecteur (HR 0.29 ; IC95 % [0.10-0.82], p=0.02). Après appariement, les patients infectés par les variants Omicron et Delta avaient des taux de mortalité (18 % vs 18 %, P > 0,99) comparables. Conclusion Le taux mortalité à 21 % que nous rapportons dans notre cohorte apparait en adéquation avec les données des essais cliniques. Nos données suggèrent également que la précocité de l'administration du tocilizumab pourrait impacter le pronostic et que ce traitement reste efficace pour traiter les formes sévères de COVID-19 quelques soit le variant impliqué. Aucun lien d'intérêt

5.
International Journal of Infectious Diseases ; 116:S107-S107, 2022.
Article in English | PMC | ID: covidwho-1720065
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